M HKA gaat digitaal

Met M HKA Ensembles zetten we onze eerste échte stappen in het digitale landschap. Ons doel is met behulp van nieuwe media de kunstwerken nog beter te kaderen dan we tot nu toe hebben kunnen doen.

We geven momenteel prioriteit aan smartphones en tablets, m.a.w. de in-museum-ervaring. Maar we zijn evenzeer hard aan het werk aan een veelzijdige desktop-versie. Tot het zover is vind je hier deze tussenversie.

M HKA goes digital

Embracing the possibilities of new media, M HKA is making a particular effort to share its knowledge and give art the framework it deserves.

We are currently focusing on the experience in the museum with this application for smartphones and tablets. In the future this will also lead to a versatile desktop version, which is now still in its construction phase.

Ensemble: ICC - Internationaal Cultureel Centrum

©image: ICC Archive

L’ICC, fondé par la jeune communauté flamande en 1970 - la première institution publique d'art contemporain en Flandre – était le résultat direct de la dynamique d'avant-garde des artistes des années 60. Pendant dix ans, c’était un point focal pour l'avant-garde internationale et nationale, entre autres grâce à ses facilités vidéo. Même si ce n’était pas sa mission, l’ICC était quand même instituant ; le centre de documentation formait également un début de collection. Le M HKA est le résultat des périls de l’ICC et l'héritier du patrimoine de celui-ci.

Surtout sous l’influence du directeur Florent Bex (1972-1983) le centre recevrait une dimension contemporaine et internationale, et deviendrait un endroit extrêmement dynamique où les artistes et le public pouvaient faire connaissance avec les nouvelles formes d'art, l'art de la vidéo en particulier. Il en était le catalyseur et faisait de l’ICC non pas seulement un lieu d’exposition pour les derniers développements internationaux et nationaux dans ce domaine, mais il fondait également un studio de vidéo et un centre de production pour la vidéo. Ainsi, une jeune génération d’artistes belges (Jacques-Louis Nyst, Jacques Lennep, Guy Mees, Copers, Danny Matthys, Jacques Lizène Daniel Dewaele ...) a eu l’opportunité d’expérimenter avec le médium de la vidéo - qui était alors encore à ses débuts - et des artistes étrangers réalisaient aussi des tapes. L’ICC documentait aussi ses propres manifestations.

Il y avait de nombreuses expositions solos d'artistes nationaux et internationaux contemporains, avec une forte présence d’artistes d'installations et de concepts, souvent encadrées par des événements, des représentations, des exposés et des présentations vidéo. De grands noms étaient entre autres Ben Vautier, Gordon Matta (1972), Peter Engels (73), Nicolas Uriburu (1974), Dan Graham, Lea Lublin, Cadere (1975), Joseph Kosuth, James Lee Byars, Antoni Muntadas (1976), Gordon Matta-Clark, Philip Francis (1977), Denmark, Vito Acconci, Lili Dujourie, Les Levine (1978), Michelangelo Pistoletto, Maurizio Nannucci, Marie-Jo Lafontaine (1979), Luc Deleu et ORLAN (1980).

Parmi les expositions de groupe il y avait des expositions « de cartographie », où le public a été familiarisé avec l’international, et des rétrospectives où l’on présentait la situation de l'art contemporain.

Actuellement, les archives vidéo, la bibliothèque et l’important centre de documentation de l’ICC sont gérés par le M HKA.

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