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Le quatrième futur possible se concentre sur le profond pouvoir transformationnel de la technologie – en particulier l’intelligence artificielle et l’ingénierie génétique, les nanotechnologies, la téléportation, la colonisation de l’espace et l’émergence d’une « société du rêve » comme successeure de la « société de l’information ». Ce quatrième futur est appelé « Transformation » ou la « Société transformationnelle » […] (Jim Dator, Alternative Futures at the Manoa School, 2009)

Il sied à ce segment de l’exposition consacré au futur « préféré » de la plupart des gens d’être possiblement le plus divers aussi. La transformation est un processus dynamique, auréolé d’un halo d’espoir, bien que ces aboutissements soient singulièrement imprévisibles, surtout si nous considérons l’interaction transformative entre l’homme et la machine qui se produit depuis au moins 250 ans. Ce segment présente à la fois des approches de haute et de basse technologie : notre symbiose toujours plus absurde avec les systèmes d’information (Stuart Candy, Guan Xiao) ou les arts presque oubliés des calculs manuels et les dessins schématiques en tant que technique à part entière (Jean Katambayi Mukendi).

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